Besoin de changement

Depuis que j'ai pris la drastique (et un peu regrettée) décision de couper mes cheveux, j'ai décidé d'en prendre bien soin le temps qu'ils repoussent.
Comme ça non seulement j'aurais les cheveux longs, mais aussi en santé.
Ce qui implique que j'essaie le moins possible d'utiliser des accessoires coiffants, surtout si ça implique des morceaux de métal brûlant du genre fer plat.
Mais il vient un temps dans la vie de chaque tête frisottée, où malgré l'amour de ses boucles on a besoin d'un petit changement.
Me croirez-vous si je vous dit que je suis partie de cheveux aussi texturés que ceux-là:

A cette coiffure lissée et pleine de volume sans séchoir, fer plat ou autre bidule dommageable?
Je vous présente une méthode qui a fait ses preuves depuis des centaines d'années, dans plusieurs pays et qui fonctionne pour toutes les longueurs de chevelures:

Le DOOBIE.

Étape1-Laver les cheveux et essorer le plus possible. Appliquer les produits désirés (mousse, gel, etc.) Laisser encore sécher un peu.

Étape2-Peigner les cheveux et enrouler la partie sur la pointe de la tête autour d'un gros rouleau pour créer du volume.

Étape 3- Peigner les cheveux pour qu'ils se dirigent tous vers le même sens. Le but, c'est de réussir à enrouler les cheveux un peu comme un turban tout autour du front et de la tête.
Étape4- Pour un beau résultat, il faut peigner délicatement le turban de cheveux au fur et à mesure qu'on l'enroule et qu'on le garde en place avec des grosses pinces plates.
Étape 5- On revient graduellement vers le front et on prend soins de faire tenir les pointes bien à plat avec le reste de la mèche turban. Arrivé là, les cheveux devraient bien tenir en places avec toutes les pinces nécessaires. Mais je conseille d'en mettre plus à l'avant et les côtés, parce que vous devrez sûrement dormir avec cet accoutrement. (Recouvert d'un foulard.)
Et voilà! On attend que ça sèche! Évidement, plus on a de cheveux, plus il y a de tours de tête, plus c'est long à sécher. Mais je vous dit, ça vaut la peine.

Pour une démo-vidéo, j'ai trouvé ce petit clip Youtube qui montre vraiment bien les étapes.

Who's that girl?

Elle fait des apparitions depuis quelques temps dans les blogs à potins.

L'air un peu dément sur scène, rallonges peroxydées et en broussaille, yeux à la mode raton-laveur de fond de ruelle.

Garde-robe à l'allure plus ou moins propre, porte-jaretelle en exhibition, bas résilles déchirés. Hard-core la jeune, full révolte.

Elle s'appelle Taylor Momsen.

Dans un effort désespéré de ne pas être prise pour Miley Cyrus, la p'tite rockeuse enchaîne les cigarettes sur la rue et en spectacle et dit à qui veut bien l'entendre que son vibrateur est son meilleur ami.

Je suis loin d'être contre la liberté d'expression, et c'est bien correct si elle n'a pas envie d'être un role-model pour les petites filles.

Sauf que, non seulement mademoiselle Momsen n'a que 16 ans....j'ai aussi fait une découverte à son sujet récemment qui m'a complètement bouleversée. Et qui me fait prendre toute cette rébellion juvénile à un niveau personnelle.

Observez bien ce petit minois, essayez d'imaginer ces yeux bleus sans les centimètres de sharpie qui les barbouilles...

Cette chanteuse dévergondée était dans son plus jeune temps actrice, Taylor Momsen était....

Oui! Cindy Lou Who!

Elle donnait la réplique à Jim Carrey dans le film du Grinche qui n'aimait pas Noël.

La gentille petite Cindy Lou, qui voulait sauver Noël, toute innocente avec ses dents de lapin, ses pomettes roses et ses couettes-couettes blondes.

Oh Cindy-Lou!

Ouch! Mon enfance!

Être Zen

Ne pas me rendre malade pour des évenements que je ne peux pas changer.

Certaines choses ne méritent pas qu'on se torture pour elles.
Respirer.
Ne même plus y penser.
Mon esprit bien propre, comme une feuille de papier blanche.

Reconnaitre ma chance incroyable, apprécier les choses que j'ai, que j'aurai, que j'aime.
Éloigner celles qui me font souffrir et me sentir mal.
Physiquement, émotionellement.
Séparer.
Simplement...
M'en détacher.

Ca ne donne rien de m'en faire.

Zen et détachée.

Uuummmmm.

Je ne pourrais pas...

Enfin je ne pense pas que je pourrais devenir complètement végétarienne. Si j'habitais seule, peut-être...je l'ai déjà fait un bout de temps. Mais c'est difficile.

Ça me jette par terre émotionellement chaque fois que j'ai le malheur de lire ou de voir quelque chose à propos des animaux d'élevage. Malgré ça, la viande et les produits animaliers sont aussi encrés dans mon mode de vie que...je sais pas...des divans dans le salon.

Je me dis qu'au minimum nous pouvons faire l'effort conscient de laisser de coté la viande au moins deux jours par semaine.
C'est ce que je fais en planifiant l'épicerie.
Deux soupers végétariens, c'est plus facile qu'on ne pense. Ça peut être des pâtes, une bonne crème, une assiette de Nachos toute garnie, une omelette, une quiche...ou pourquoi pas...des hot-dogs au tofu!
Et puis un jour poisson/fruits de mer...et les autres pour satisfaire le lion qui sommeil en nous; contenant de la viande quelconque.
Autre avantage, l'épicerie coûte nettement moins lorsqu'on coupe la consommation de viande.

Voici une petite recette facile d'ailleurs, qui est délicieuse et végétarienne:

Pâtes Alfredo Primavera (pour 4 personnes)

2 c. à ta. Huile d'olives

3t. Légumes de saison frais en morceaux (zucchini, poivrons, asperges, pois, carottes, etc.)

2 gousses d'ail

1 pot de sauce Alfredo

8 onces de pâtes cuites au choix

Chauffer l'huile d' olives et cuire les légumes avec l'ail. (2 minutes.) Puis ajouter la sauce et continuer la cuisson (3 minutes.) Servir sur les pâtes et saupoudrer de parmesan si désiré.

C'est tout! Plus facile que ça tu meurs, et plus délicieux que ça...bien tu meurs aussi!

Le nectar des dieux

J'ai un attachement particulier pour l'hydromel.

Moi qui n'est pas une fanatique d'alcool, j'ai développé une véritable fascination pour ce breuvage.

Le petit goût mielleux, la belle couleur dorée, mais surtout le fait que La Benoîte d'Intermiel soit la première bouteille que Chéri et moi ayons partagée en tant que couple un soir magique de Février il y a presque deux ans et demi.

Depuis ce jour, lorsque nous soupons dans un restaurant ou l'on peut apporter notre vin, le choix est évident...petit détour pour aller chercher une bouteille d'hydromel. C'est festif, original et tout à fait romantique. Surtout que ces soirées restent occasionnelles et spéciales.

Je ne vais pas non plus m'en cacher, l'histoire de ce breuvage me séduit. Je l'associe naturellement à tout ce qui est ancien, mystérieux et magique. En boire une coupe me rapproche un peu de ce monde perdu.

Je me revois à l'époque médiévale, et beaucoup plus loin. Parce que son invention précède même celle du vin.

On dit que c'était la boisson des dieux de l'Olympe, elle était utilisée par les druides et les celtes comme fortifiante et restauratrice de courage.

Saviez vous que l'hydromel est un des ingrédients de la potion magique dans les BD d'Astérix?

Reconnue aussi comme aphrodisiaque, on en a même gardé une expression charmante...en Europe, les jeunes mariés se devaient de ne boire que de l'hydromel durant la première Lune de leur union...ce qui donna La Lune de miel.

Sur ce, si vous n'avez jamais connue le bonheur d'apprécier ce si exceptionnel breuvage, je vous encourage fortement à trouver quelqu'un avec qui partager un bon moment et aller en cueillir une bouteille chez Intermiel ou votre SAQ locale.

Bonne dégustation!

Quand on a rien à dire

Ouf!

Mon blog est un peu plate ces temps-ci...

Je ne suis juste pas inspirée pour écrire. Pourtant plein de choses arrivent...la canicule, mon beau jardin que j'adore, le nid de guêpes au dessus de la porte-patio, des spectacles, des longues marches dans les rues de Montréal, cette nouvelles toile sur laquelle je travaille depuis quelques jours, mais j'ai l'impression que ce sont toutes des choses qui n'intéressent que moi et mon entourage proche...

Il y a bien mes cheveux....oui! Ça je suis toujours prête à en parler. J'étais pas mal contente de mes boucles depuis un moment.

Et soudain, l'humidité intense de l'air a fait son travail, les jolies boucles devenaient "stragly" et "frizzy" , aucun produit, même les plus naturels ou les plus chimiques ne faisaient l'affaire. La couleur avait aussi délavée sous les rayons du soleil.

Tout ça a mené au fait que lorsque j'ai vu des ciseaux traîner sur le comptoir, je me suis dit que de couper 1 ou 2 centimètres serait une bonne idée pour redonner de la force à ma crinière.

J'avais en tête une coupe en "A". Plus court à l'arrière et long sur les côtés.

Ça a donné ceci:

J'étais fière, c'était bien beau! Mes boucles avaient l'air plus heureuses aussi.
Mais le mal était fait, j'étais sournoisement entrée dans une état Scissor-Crazy.
Le lendemain, j'ai noté une mèche légèrement plus longue près de ma nuque. Prend le ciseau, coupe! C'est trop facile.
Oups! Celle-là en avant à l'air abîmée de toute façon...coupe coupe!
Pour faire une histoire courte, mes cheveux qui étaient longs jusqu'aux épaules la semaine d'avant sont aujourd'hui semblables à ceux-ci. (En moins frisés peut-être):



Trop courts!! Regrets! Mes cheveux longs me manquent. Ça me manque de pouvoir les attacher, les relever, faire toutes sortes de choses avec.
Les possibilités sont tellement limitées, surtout avec les ridicules petits trognons de cheveux de 1 pouce près de mon cou.
Je peux au moins me consoler en me disant que ça repousse et qu'ils repousseront en santé. En attendant, j'en prend bien soins, je bois beaucoup d'eau et je mange des légumes. Parait que ça aide.